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(une nation sous le pouvoir de dieu) citations résumé d’oeuvre bibliographie & webographie au fil de l’actualité et de mes envies… « one nation under god » ? (une nation sous le pouvoir de dieu) cette formule, employée dans le serment d’allégeance au drapeau résume l’apparente ambiguïté d’un pays laïque mais où la religion tient une place plus importante que dans la plupart des autres pays occidentaux. une nation laïque.. depuis la fin du xviiie siècle, la religion est officiellement séparée de l’État et ce princi constitution (article vi et premier amendement). dans la constitution et dans la déclaration des droits, il n’est jamais fait référence à dieu ou à la providence6. la devise originelle des États-unis est « e pluribus unum » (« de plusieurs, nous faisons un »). l’État fédéral ne subventionne aucune école religieuse au nom de la liberté religieuse. depuis 1962, la prière à l’école est prohibée par l’arrêt engel contre vitale. enfin, il ne faut pas oublier que le premier amendement garantit la non ingérence de l’État dans les religions et la liberté de culte. cependant, les références à dieu sont omniprésentes dans la vie publique aux États-unis, en effet il est question d’une laïcité a-confessionnelle (c’est-à-dire sans religion, sans dieu favorisé au détriment des autres. en france c’est différent, il est question d’une laïcité a-religieuse). mais si le président prête serment sur la bible depuis george washington, les autres renvois à dieu datent de la guerre froide, où il s’agissait de montrer son opposition à l’union soviétique athée. ainsi, la référence « one nation under god » a été ajoutée au serment d’allégeance en 1954 ; la devise « in god we trust » (« en dieu nous croyons ») qui figure sur la monnaie, date, elle, de 1956 ; de même que le jour national de prière, créé la même année. mais ces références sont abstraites et symboliques, et ne renvoient pas à un dieu en particulier : lors du national day of prayer (en) , fixé le premier jeudi de mai, les américains sont invités à prier la divinité qu’il leur convient. la neutralité américaine a pour motivation la tolérance vis-à-vis de toutes les confessions. les spécialistes évoquent une « religion civile », constituant un socle spirituel national assurant la synthèse entre « esprit de religion » et « esprit de laïcité » …mais profondément croyante d’après une étude réalisée en 2007 par le pew research center10, près de 84 % des américains seraient croyants, et environ 39 % assisteraient au service religieux chaque dimanche, ce qui constitue un taux de participation bien plus élevé que dans les autres pays occidentaux. 56 % considèrent la foi comme quelque chose de très important dans leur vie. ils sont le même pourcentage à déclarer avoir prié récemment (les jours précédent l’enquête). inversement, seulement 4 % sont athées ou agnostiques, parmi un ensemble plus large de 16 % d’américains qui ne déclarent pas de religion spécifique. mais l’identité religieuse est mouvante aux États-unis. chaque américain change trois fois d’Église en moyenne au cours de son existence (surtout au sein du monde protestant, très concurrentiel). l’appartenance à une Église est une chose courante et signifie appartenir à une communauté, recevoir de l’aide en cas de besoin. sur les 250 milliards de dollars de dons annuels que font les américains aux associations à but non lucratif 36 % sont affectés aux différentes Églises. d’après une autre étude de 2008, 75 % des américains (contre 21 % des français) déclarent avoir lu au moins un passage de la bible au cours de l’année passée. plus de la moitié des français ne possèdent pas de bible chez eux, contre 7 % des américains. 13 % des américains disent ne jamais prier contre 49 % des français. un paysage religieux diversifié l’étude réalisée en 2007 du pew research center montre la répartition globale suivante : chrétiens – 78,4 %, dont protestants – 51,3 %, dont églises évangéliques – 26,3 % églises libérales – 18,1 % églises historiques noires – 6,9 % catholiques romains – 23,9 % mormons – 1,7 % orthodoxes – 0,6 % autres chrétiens – 1 % juifs – 1,7 % bouddhistes – 0,7 % musulmans – 0,6 % hindouistes – 0,4 % autres religions – 2,1 % sans religion – 16,1 % ainsi, bien que les deux tiers des chrétiens américains (plus de 51 % de tous les américains) soient protestants, l’Église catholique domine dans les grandes villes du nord-est (surtout à new york, à boston et à philadelphie), du middle west (chicago et milwaukee), de la côte ouest (los angeles et san francisco), dans une métropole d’origine française (la nouvelle-orléans) et dans plusieurs villes à majorité hispanique (miami et san antonio). d’importantes communautés juives se sont établies dans les zones urbaines de new york (première ville juive au monde), de californie (à los angeles), ainsi qu’en floride. ce sont dans ces mêmes zones urbanisées que les confessions les plus récentes sont retrouvées (religions orientales, new age…). l’Église de jésus-christ des saints des derniers jours (mormons), née aux États-unis en 1830, est quant à elle particulièrement présente dans l’ouest, et surtout dans l’utah et l’idaho. pourtant, toutes ces exceptions confirment la règle : les confessions protestantes, arrivées en premier sur le sol américain, ont une forte présence presque partout aux États-unis. les baptistes sont majoritaires dans le sud, tandis que les luthériens et les méthodistes sont surtout dominants dans le middle west et les grandes plaines. l’ouest, à la religiosité plus disparate, constitue une terre de développement pour les courants les plus dynamiques, notamment les pentecôtistes et les Églises indépendantes (appelées non-denominational churches ). les anciennes Églises majoritaires de l’époque coloniale (anglicans devenus épiscopaliens, presbytériens, unitariens, puritains devenus congrégationnalistes), en voie de marginalisation, ne représentent plus que les élites de la côte est. les études américaines distinguent ces Églises libérales, appelées « mainline », des Églises plus conservatrices, qualifiées d’évangéliques. car depuis l’après-guerre, le protestantisme de tendance évangélique, qui compte quelques groupes extrémistes (fondamentalistes), est de plus en plus actif au niveau politique et social. il comprend notamment les fameux born again (« nés de nouveau », dans le sens de nouveau éveillés à la foi). représentés surtout au sein des congrégations baptistes, méthodistes, pentecôtistes et indépendantes, plus une partie des Églises noires, ils sont désormais majoritaires parmi les protestants, avec 25 à 30 % de la population totale, selon les estimations. le sud des États-unis, appelé aussi la « bible belt » (« région de la bible », fondamentaliste) constitue leur bastion. ces Églises très dynamiques usent des moyens de communication modernes, comme l’attestent l’influence des célèbres télévangélistes (comme billy graham) ou des megachurches. répartition des différentes dénominations assistance hebdomadaire au culte par État. elle est majoritaire dans le sud évangélique et dans l’utah des mormons, et marginale dans le nord-est et la côte pacifique. si la grande majorité des américains se déclarent chrétiens, leur part dans le angeles total diminue (-10,2 points entre 1990 et 2008) alors que celle des athées, agnostiques et sans religion augmente de 6,8 points. le protestantisme, qui regroupe encore plus de la moitié des américains, s’érode globalement, mais voit en son sein le courant libéral s’effacer au profit des évangéliques. parmi ces derniers, le courant pentecôtiste, apparu aux États-unis au début du xxe siècle, est le plus attractif, notamment auprès des immigrants. si la progression des catholiques dépasse en valeur relative celle des protestants, leur pourcentage au sein de la population américaine stagne depuis une quinzaine d’années : l’apport de l’immigration des latinos comble tout juste les départs observés parmi les descendants des italiens et irlandais. l’Église catholique est ainsi la seule confession à fermer des lieux de culte dans le pays. les mormons, au prosélytisme connu, sont parmi les groupes les plus dynamiques. alors que la part des juifs diminue, celle des religions orientales (musulmans, hindouistes et bouddhistes) progresse du fait de l’immigration. société et religion les États-unis sont parfois considérés comme un pays puritain, ce que certaines productions culturelles, notamment des séries télévisées moralisatrices ( la petite maison dans la prairie , sept à la maison , etc.) ou des affaires comme le scandale du nipplegate (sur le sein de janet jackson), pourraient faire penser. l’histoire des États-unis montre cependant que le pays a su libéraliser ses mœurs, souvent avant la france (pour le droit de vote des femmes et la légalisation de l’avortement, par exemple). dès les années 1960, le mouvement hippie a contesté les valeurs bourgeoises. aujourd’hui, le chiffre d’affaires des films pornographiques aux États-unis est comparable à celui d’hollywood18. le taux de divorce y est aussi l’un des plus élevés du monde. cependant, il est noté, depuis les années 1950, un certain regain des conceptions conservatrices et notamment fondamentalistes, qui se repèrent dans les débats contemporains sur la prière à l’école, l’avortement, ou encore le combat scolaire qui vise à imposer le créationnisme (« intelligent design ») contre la conception darwiniste de la sélection naturelle, pour expliquer l’apparition de l’homme sur terre. d’une manière générale, les évangéliques, représentés notamment au sein de la coalition chrétienne d’amérique, font un intense lobbying auprès des décideurs politiques. l’ex-président george w. bush, méthodiste « born again » mais qui n’est pas membre d’une église évangélique, a été considéré comme le porte-parole de ces conceptions politico-religieuses. il est généralement admis que les protestants blancs, et plus particulièrement les évangéliques, votent massivement en faveur du parti républicain, alors que les minorités religieuses (catholiques et juifs, surtout), sont plus proches du parti démocrate. l’influence protestante reste dominante aux États-unis : tous les présidents étaient protestants, à l’exception du catholique john kennedy. l’actuel président obama est congrégationnaliste (une dénomination libérale, lointaine héritière des puritains de la nouvelle-angleterre). non affiliation, athéisme et libre-pensée d’après une étude du pew research center réalisée en 20121, 19,6 % des américains se déclarent non affiliés à une religion, dont 2,4 % qui s’identifient comme athées, et 3,3 % comme agnostiques. si les non affiliés en général se retrouvent globalement dans l’ouest, les athées et agnostiques sont surtout présents sur les côte nord-est et pacifique, généralement parmi la population la plus éduquée. longtemps marginalisés, les américains athées et agnostiques sont en progression dans la population. selon l’ american religious identification survey d’avril 2009, l’athéisme est le « seul groupe démographique » à avoir augmenté dans chaque État américain les 18 dernières années. les organisations athées américaines, notamment american atheists , americans united for the separation of church and state (avec sa revue mensuelle church & state ), et alliance athée ( atheist alliance ), militent depuis plusieurs décennies pour une plus stricte séparation des Églises et de l’État. la principale, american atheists , fondée en 1963 par madalyn murray o’hair, appuie ses revendications sur les principes de la déclaration d’indépendance et sur la constitution. elle engage de nombreux procès contre les institutions publiques qui violent le principe de laïcité. ellen johnson est la présidente depuis 1995 de cette association qui a son siège dans le new jersey. le 2 novembre 2002, au cours de la marche des athées américains sur washington ( godless americans march on washington en anglais), ellen johnson avait annoncé la création du comité d’action politique des athées américains ( godless americans political action committee (gampac)), afin de faire pression sur les candidats aux élections. il fut officiellement lancé le 9 mars 2004 et soutint le candidat (catholique) john kerry aux présidentielles 2004. licence creative commons. laisser un commentaire annuler la réponse. votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. les champs obligatoires sont indiqués avec * nom * adresse de contact * site web commentaire vous pouvez utiliser ces balises et attributs html : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong> pourquoi policies & co ? certains la trouve ennuyante, d'autres frustrante et les plus fous, comme moi, passionnante. la politique. afin de la définir au sens d'action publique, la langue anglaise, plus précise sur le sujet, accorde le terme de "policies". policies & co est ainsi né de la volonté, et probablement de la prétention de son éditrice, à pouvoir apporter un éclaircissement sur certaines notions de base de droit, d'économie et de sciences politiques. si certaines fiches sont en accès libre, d'autres sont cependant payantes ainsi que leur téléchargement afin de rémunérer une partie du temps que je peux consacrer à la gestion de ce site. l’editrice julia deuil 25 ans se prépare à passer le concours des ira après 7 ans d'études en sciences politiques je vous laisse imaginer la masse de documents, d'analyses, de cours, que j'ai pu emmagasiner. il me semblait dommage de les garder égoïstement pour moi, alors que peut être, je dis bien peut être, une partie de ces documents, pourraient vous être utiles. régalez-vous. mon facebook julia deuil articles récents iii. le budget ou comment équilibrer recettes et dépenses ii. les dépenses de l’etat i.les ressources de l’etat ii. histoire i. comment définir les finances publiques commentaires récents mots-clés agenda 21 bloc de constitutionnalité brundtland budget copenhague décentralisation démographie dénatalité dépenses espérance de vie etat fbcf fertilité friends of the earth fécondité hauriou 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